Elles ont choisi Zebr’Harmonie : qu’en disent-elles ?

Miranda : la reconquête


« C’est extraordinaire comme les solutions proposées par Claire sont adéquates. »

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Marie : la séparation


« C’est vraiment magnifique d’être bien chez soi.»

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Virginie : la transition.


« Le regard de Claire, de femme aimante, m’a permis de prendre du recul sur la situation et sur moi-même. »

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Anne : l’apaisement


« Je suis contente d’avoir épuré mes pensées et mes placards. J’ai reçu un coaching efficace et j’y pense chaque jour, car je vois les résultats. »

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Amélie : la victoire


« Maintenant que j’ai un plan, tout est clair dans ma tête, je sais où je vais. »

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Miranda : la reconquête


« C’est extraordinaire comme les solutions proposées par Claire sont adéquates. »

Son histoire : Après une longue carrière administrative à l’extérieur, Miranda a décidé de changer de métier. Elle a terminé ses études de thérapeute et souhaite exercer chez elle, dans la maison familiale qu’elle a rachetée à son ex-époux. Ses trois enfants adultes continuent cependant à considérer cet espace comme le leur : ils rentrent, sortent, s’installent, repartent selon leurs besoins. Ils déposent et stockent chez leur mère un peu tout ce qu’ils veulent et n’importe où. Miranda a beaucoup de mal à créer un espace propre aux soins et qui doit devenir apte à recevoir ses patients.

conseil amenagements temoignage mirandaNotre solution : C’est dès l’entrée que Miranda impose ses règles. Nous réalisons l’agencement d’un espace d’accueil avec un meuble qui permet de déposer les sacs et les chaussures, et avec un grand porte-manteau élégant. Cet agencement met les limites de ce qu’il est convenable de déposer. L’espace sous l’escalier près de la porte d’entrée, propice au stockage indéfiniment temporaire, accueille de grandes plantes vertes qui par leur présence, interdisent l’amoncellement. Le message est clair : « ici, c’est chez moi ». L’espace de travail, symboliquement séparé par des claires-voies, est investi avec des vieux meubles, des tapis neufs et joyeux. Une armoire de stockage pour les dossiers et les produits, assortie à celle de l’entrée, permet le maintien d’un espace clair, intime et libre.

Son slogan : je me fais respecter.

Ce qu’elle en dit : L’objectif était de créer mon espace de travail et de maintenir l’ordre dans ma grande maison, avec mes trois ado-adultes qui avaient pris leurs aises. L’escalier était systématiquement un lieu de dépôt de sacs, de chaussures, de rollers, de casques, de surf, de courses, d’objets en attente de destination. C’était finalement un dépotoir de ce qui n’était jamais rangé. Comment bien accueillir des patients dans ces conditions ? Claire a suggéré de placer dans mon entrée une composition végétale parce qu’elle a la connaissance des plantes. Claire est rentrée dans l’état d’esprit dans lequel j’étais, de permettre un flux d’énergie tranquille. Elle m’a aidée pour la mise en place des meubles pour cet objectif. Elle m’a conseillé d’harmoniser l’espace de travail en repeignant les meubles pour en faire un endroit de calme et de détente. J’aime bien la présence de l’armoire blanche qui augmente l’espace de rangement et la clarté. C’est extraordinaire comme les solutions proposées par Claire sont adéquates. Nous avons créé un endroit de paix, protégé, sécure. Je peux maintenant de me concentrer sur mon soin. Ma fille a dit : cet endroit, je m’y sens bien maintenant. J’ai pris conscience de l’importance du vide dans l’espace ; le changement est un changement de vision. Claire m’a accompagné dans ce changement de vision. C’est grâce à Claire, mais surtout avec elle, que l’intégration se fait. Ayant intégré les bases, je peux continuer à mettre en œuvre au quotidien.

Marie : la séparation


« C’est vraiment magnifique d’être bien chez soi.»

Son histoire : Marie est pharmacien en officine et en entreprise ; elle doit assimiler beaucoup de nouvelles informations pour ses deux jobs. Tout le temps dehors, elle n’a pas le temps de s’occuper de son intérieur. Elle dit que depuis son divorce, elle n’a jamais réussi à s’installer. Elle est sportive et souvent dehors. Elle dit avoir un vrai problème avec l’administratif. Conséquence : tout s’amoncelle partout. Toutes les surfaces planes sont recouvertes de documents, les courses ne sont pas rangées, le recyclage est dans le salon, il y a des piles de documents qui attendent d’être traités, les cadeaux de Noël qu’elle achetés pour sa famille sont dans sa chambre, des sacs pleins de choses diverses, mais qui correspondent à ses allées et venues, sont dans tous les passages. Son appartement d’environ 60 m² est le seul à l’étage et sa buanderie est deux étages plus bas dans le garage. L’escalier conduisant au premier étage fait partie de son appartement. Elle aime la belle vue et voudrait travailler et manger en face de cette vue magnifique. Elle voudrait pouvoir recevoir ses amis facilement.

Notre solution : D’abord organiser les entrées et sorties. Nous profitons de l’escalier privatif et du placard en haut de celui-ci, pour ranger tout ce qui rentre et sort : recyclage, cadeaux, linge allant à la buanderie, vêtements et matériel de sport, manteaux, chaussures, sacs de voyage. On sait maintenant où déposer et où prendre chaque élément en entrant et en sortant, l’espace de vie restant libre. D’autre part en finir avec le chaos administratif : quatre heures suffisent pour organiser la totalité des documents. Marie se trouve maintenant en possession d’une méthode et de consignes pour le tri et le rangement des documents passés et à venir. Enfin, par l’agencement judicieux des trois tables dans son salon-cuisine, trois espaces sont délimités pour travailler, manger et recevoir facilement.

orgnanisation et rangement témoignage marie

Son slogan : je choisis.

Ce qu’elle en dit : C’est vraiment magnifique d’être bien chez soi. J’avais goût à l’ordre, mais j’étais incapable de ranger ou d’avoir des résultats durables. J’ai pris goût au fait d’être capable de ranger et de vivre dans une maison organisée. Ça fait partie, mais c’est une découverte, de ranger pour prendre soin de soi. Mon logement, c’est un prolongement de moi. Et aussi, je suis moins angoissée par l’administratif : j’ai enfin mis en œuvre la méthode dont j’avais l’intuition et, peu à peu, je range tout le passif. Les nouveaux documents ont leur place. J’ai aimé être accompagné, sans jugement, de façon dynamique. Claire est efficace, elle donne l’impulsion de départ, elle donne aussi les clés pour assurer la suite. C’est une guérison de pouvoir enfin soi-même prendre soin de son intérieur : il est bon d’habiter chez moi maintenant. J’ai du plaisir à rentrer chez moi. J’ai aussi plus de facilité à accueillir des gens chez moi. Je me sens aussi mieux chez mon père qui range très bien sa maison ; je le comprends maintenant. Je me trouve plus adaptable, je vois bien que ma confiance en moi a augmenté, je suis plus à l’aise quand je suis en visite.

Virginie : la transition.


« Le regard de Claire, de femme aimante, m’a permis de prendre du recul sur la situation et sur moi-même. »

Son histoire : Virginie vient de perdre son époux après une longue maladie. Ses enfants sont grands et habitent à quelques centaines de kilomètres. La maison est bien trop grande, bien trop pleine. Elle aborde une nouvelle phase de sa vie, plus seule, mais aussi plus libre. Pour vendre la maison et racheter un appartement plus petit et plus proche de ses enfants, il faut vider cette grande maison, et se séparer des affaires de son époux et d’une partie de leurs souvenirs.

Notre solution : Je l’accompagne dans un tri plein de douceur et d’émotion. Les objets conservés pour la nouvelle maison sont stockés dans des cartons solides, dans l’attente du déménagement. Le stockage de ce qui va être donné ou vendu est organisé dans le garage où les acheteurs potentiels peuvent les voir. Le soulagement s’installe au fur et à mesure du tri, et le processus de deuil se fait le mieux possible.

Son slogan : je m’allège.

Ce qu’elle en dit : Merci à Claire pour ses idées et nos échanges. Toute sa façon de procéder était vraiment ce qu’il me fallait. Le regard de Claire, de femme aimante, m’a permis de prendre du recul sur la situation et sur moi-même. Cela m’a donné de la verticalité, c’est-à-dire que j’ai regardé les choses de plus haut, en me redressant. Et je me suis à nouveau enracinée en moi-même. Je me suis retrouvée, alors que j’étais diffuse, évaporée, comme liquéfiée. Maintenant j’ai un contenant, j’ai de la verticalité. Les outils que Claire m’a donnés m’ont aidée, en particulier à prendre possession de moi-même. Je ne m’offre plus aux autres, je me garde pour moi. Ca donne l’avantage de pouvoir regarder les choses droit dans les yeux, de les appréhender avec sérénité, une sérénité que j’avais perdue. Je me sens sur mon chemin, je peux avancer maintenant.

Anne : l’apaisement


« Je suis contente d’avoir épuré mes pensées et mes placards. J’ai reçu un coaching efficace et j’y pense chaque jour, car je vois les résultats. »

Son histoire : Avec deux magasins distants de 500 km, trois maisons, une qu’elle habite et deux qu’elle loue, Anne ne savait plus où donner de la tête. Elle a vendu un des magasins et une des locations. Son domicile et son magasin sont maintenant dans la même ville. Mais les deux portent les traces d’années de chaos. Elle est épuisée par toutes ces décisions et ces changements. Elle n’a plus le courage de ranger. Comme elle a beaucoup de goût (elle est artiste), sa maison est pleine d’objets magnifiques qui s’entassent dans les coins. Elle est impuissante devant le désordre et finit par bourrer les placards quand elle ne veut plus le voir. Conséquence : elle ne retrouve plus rien, elle ne profite de rien.

Notre solution : C’est de méthode dont Anne a besoin, et d’énergie. Après avoir déterminé la fonction de chaque espace, nous mettons en oeuvre le tri et le rangement, catégorie par catégorie, jusqu’à ce qu’elle retrouve le contrôle de sa magnifique maison.

Son slogan : je peux exprimer ma fantaisie paisiblement.

Ce qu’elle en dit : Je suis contente d’avoir été aidée à trier et à décider de me séparer de choses que je traine depuis trente ans sans m’en servir, ou qui me rappelle de mauvais souvenirs, comme la vaisselle de mon premier mariage. J’ai pris conscience du lien entre mon esprit et la manière dont les placards étaient encombrés. Je suis contente d’avoir épuré mes pensées et mes placards. Il reste des choses à faire et la maison a besoin d’un ménage de fond. L’évacuation n’est pas complètement finie (entre ce que je garde, ce que je veux donner, ce que je veux vendre…). Il faut les stocker avant de les évacuer. Cela prend du temps de gérer ce qui a été éliminé. Ce qui m’a plu et aussi qui m’a surprise, c’est l’injonction à réfléchir pourquoi je veux garder les choses ; c’était une démarche inconnue. J’avais l’habitude d’accumuler sans réfléchir, par envie des objets eux-mêmes sans souci de leur fonction ou de leur utilité. J’étais contente de recevoir le rapport écrit de Claire, de voir les objectifs en toutes lettres pour garder les idées, claires justement ! C’est quelque chose qui existe et qui permet de se féliciter quand on avance. Je me suis vite habituée à la nouvelle organisation de la cuisine et j’ai plaisir à la maintenir en ordre. Mes invités, ma famille, s’y retrouvent plus facilement dans ma cuisine et remettent les choses plus facilement à leur bonne place. J’ai reçu un coaching efficace et j’y pense chaque jour, car je vois les résultats. Ca me motive. C’est bon que quelqu’un m’ait expliqué comment mettre et conserver l’ordre dans la maison.

Amélie : la victoire


« Maintenant que j’ai un plan, tout est clair dans ma tête, je sais où je vais. »

Son histoire : Amélie a réalisé son rêve : acheter une maison à la mer, sur les lieux de son enfance. Veuve depuis 5 ans, elle m’explique que son époux était maniaque et qu’en réaction, elle vit dans le désordre. Elle souhaite aussi que sa maison puisse accueillir ses enfants et ses petits-enfants pendant les vacances. Elle a une toute petite maison sur trois niveaux où elle vit seule, mais où les onze membres de sa famille se retrouvent l’été. Dans le grenier, elle a organisé un dortoir modulable, en plus de son bureau. Tous les espaces (y compris la terrasse et les cabanons du jardin) sont pleins d’objets qui appartiennent à ses enfants. Enfin, ses placards sont pleins de vaisselle héritée de ses parents et de ses grands-parents. Entre le souvenir de ses grands-parents, de ses parents, de son époux, et les besoins de ses enfants, Amélie ne se sent pas chez elle. Loyale et bienveillante, elle a du mal à choisir entre ses besoins et ceux des autres.

Notre solution : Pour réaliser son souhait d’avoir une vie personnelle et une vie familiale, je lui propose d’assigner le premier étage à son usage propre, et de réserver le grenier à sa famille. Je lui propose aussi de faire communiquer les deux chambres du premier étage afin d’avoir une grande chambre contenant son bureau et son dressing. Ainsi le tri est facile : tout ce qui lui est personnel et utile est dans son espace à elle. En l’absence de ses enfants, elle n’a même pas à monter au grenier où se trouvent maintenant leurs lits, literie, jouets, livres pour enfants et vêtements d’été. Le salon-cuisine au rez-de-chaussée reste un espace partagé par tous, ouvert et convivial. Son intimité est préservée, ainsi que ses besoins, y compris de relations. Pour apprendre la méthode de tri, nous mettons en œuvre ensemble le tri de la vaisselle et de tous les objets de la cuisine, car ce sont ceux qui, pour elle, sont le plus nombreux et les plus chargés d’émotion. Le salon-cuisine bénéficie grandement de ce tri, et le passé peut enfin prendre sa place : dans le passé !

Son slogan : je suis la reine chez moi.

Ce qu’elle en dit : Merci à Claire pour ses idées et nos échanges. Toute sa façon de procéder était vraiment ce qu’il me fallait. Je suis tellement contente de la solution. Je me sens chez moi, en possession de chez moi. Maintenant que j’ai un plan, tout est clair dans ma tête, je sais où je vais. Et chaque personne qui vient me voir, m’aide à mettre ce plan en œuvre. Tout le monde est joyeux de mes transformations. J’ai profité de la présence de mes enfants pour continuer les modifications parce qu’il y a certains meubles que je ne pouvais pas bouger toute seule. Au lieu de me séparer de mes enfants, l’agencement de ce que j’appelle « mes nouveaux appartements », le premier étage, sont une occasion de partage et de réjouissance. Mes enfants sont très contents parce qu’ils n’ont plus l’impression de me déranger ou d’avoir à me pousser ; eux aussi, ils ont « leurs appartements ». Et ils retrouvent leurs affaires ! J’ai aussi appris à ranger les placards, les étagères, les tiroirs en me souciant de l’esthétique. Je ne savais pas qu’on pouvait avoir du plaisir en regardant une étagère ! C’est génial ! J’avance et je m’amuse tellement !